Les bronzés
Les Bronzés
- Eh ya quel pourcentage de filles pour un mec ?
- Eheheh ! Ca dépend du mec ça
- Ah oui d'accord ouais...
- Dis "camion".
- Euh non ben, je ne sais pas mais ... "camion"
- Pouet Pouet !
- J'ai eu des regards avec une nana, à mon avis, y'aura des
ouvertures.
- Ah oui, tu penses à ma femme?
- Non, pourquoi, elle pense à moi, ta femme ?
- Je me suis niqué 3827 kilos de gonzesses, je me dégoùte
parfois. Et toi, t'en es à combien ?
- 125
- Eh mon vieux, faut s'y mettre, hein...
- Mais attention, en une seule fois !
J'ai vécu avec une femme. Et puis au bout de 48h elle a decidé qu'on se séparerait d'un commun accord. J'ai fait une tentative de suicide : j'ai avalé 2 tubes de laxatifs. J'ai perdu 16 kilos et ma moquette.
Bernard : "J'ai pas trouvé ma case,
j'ai dû passer la nuit avec cette charmante dame aux sanitaires..."
- Christiane : "Je précise
que je peux être charmante ailleurs qu'aux sanitaires."
Bourseault : "Ca
va les G.O. ? En forme ?"
- Popeye : "En forme de
quoi ?"
Gigi : "C'était
vraiment extra, et avec lui j'ai eu des envies folles pendant 2 ans. On se
voyait le lundi parce que c'était le jour de fermeture de son salon. Je vous
avais pas dit, il travaillait dans la coiffure."
- Christiane : "Oh ! Très amusant,
figurez-vous que moi aussi je ferme mon salon le lundi. Avant, je fermais le
mardi mais c'est tellement moins commode pour le week-end."
- Jean-Claude, derrière : "C'est quoi
vos prénoms ?"
- Gigi : "Sa femme a appris notre
liaison par le 1er shampouineur, tenez-vous bien, elle a tenté de
l'électrocuter avec un séchoir."
- Christiane : "Ou la la ! Ecoutez,
moi dans un autre genre, j'ai eu des polyvalents dans mon salon de beauté
pendant 3 jours."
- Jean-Claude : "Ehh ! c'est quoi vos
prénoms ?"
- Christiane : "J'ai été tellement
déprimée que j'ai cru n'avoir pas la force de venir jusqu'au club."
- Gigi : "Alors il a été très chic, et
puis il m'a dit, ma petite giselle pour sauver notre amour, il faut qu'on se
quitte."
- Christiane : "Il a très très bien
fait."
- Jean-Claude : "Parce que moi c'est
Jean-Claude, mon prénom, moi."
- Christiane : "Vous allez voir, vous
allez très vite vous remettre, vous ici. Ne serait ce que le châtain là bas, il
ne vous plait pas ?"
- Gigi : "Ah ! Non, ah non, non,
voyez. J'les préfère avec 5 ans de plus, ensuite très distingué... Genre, Paul
Newman. Et puis surtout avec la tempe légèrement dégarnie."
- Jean-Claude : "Alors là ma chérie,
écoute !"
- Christiane : "Non, je vais vous
paraître un peu vieux jeu, malgré mon passé mouvementé, mais j'les aime grands,
exagérément musclés et surtout les cheveux blonds et en brosse."
- Jean-Claude : "Eh ouais, le nazi
quoi ! Elles se feraient chier de me répondre ces deux espèces de pétasses, là
!!".
- Gigi : "Non mais ! Ça va pas bien
derrière ?"
- Christiane : "Il a un malaise le
peignoir ?"
- Jean-Claude : "Ca tape la hein...
d'un coup ? , J'vais m'baigner."
- Christiane : "Ohhh ! Quel malhonnête
!"
- Bourseault : "Alors, on ennuie les
dames. Allez... allez, à la flotte !"
- Gigi : "Regaaaarde ! Ils lui ont
piqué son slip !"
Nan mais ! Y'a un problème ou c'est mes yeux ? Ça doit être vos yeux...
Bernard aux anciens locataires : "Vous avez tort, Monsieur, si tout le monde dépasse d'une demi-journée, qu'est ce qui se passe : l'année prochaine, moi, je skie au mois de juillet".
Gigi à Gilbert : "Vous voulez de la tarte aux myrtilles ?... Ah c’est bête, y’en a plus !"
Jean-Claude : "Ah mes félicitations, elles sont bien rondes vos miches !"
-
On aurait pu arriver à minuit dix si on voulait.
- On aurait même pu arriver à zéro heure une.
Nous sommes tous d'accord pour dire que Jean-Claude est nul.
-
Quel est le défaut principal de Bernard ?
- Il est égoïste !
Bernard : tu m'aides pas
là ?
Jean-Claude : non pas là
non...
Et en plus je sens que ce soir... j'vais conclure. - Jean-Claude Dusse
Tu sais que tu me sidères, Jean-Claude ... ça fait deux jours que tu es là et t'es déjà sur un coup ! - Bernard
J'y vais mais j'ai peur.....la neige elle est trop molle pour moi !
Je crois que toi et moi on a un peu le même problème, c'est-à-dire qu'on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi.
Si je peux me permettre de te donner un conseil : oublie que tu n'as aucune chance, vas-y fonce, on sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher.
-
Quel est le con qui a mis du fil dentaire dans la fondue ?
- Non, autant il y a des blagues qui sont drôles, mais là, ça fout la
nourriture en l'air !
Quand
te reverrais-je
Pays merveilleux
où ceux qui s'aiment
Vivent à deux
-
Je sais pas ce qui me retient de te casser la gueule.
- La trouille, peut-être ?
- Ouais t'as raison ça doit être ça.
Vous savez ce qui va pas monsieur Dusse ? C'est le planter du bâton.
-
Excusez-moi mais vous êtes en train d'uriner sur ma voiture.
-Comment ça ?
- Vous êtes en train d'uriner sur ma voiture.
- Ahah pardon, c'est parce que j'ai la même là-bas alors...
- Ah oui
- C'est la même couleur et tout quoi...
- Oui oui
- Je suis désolé. Euh, Je termine ?... Bonne voiture, hein?
Vous avez de la pâte ! Vous avez du suc' ! Alors avec la pâte, vous faites une crêpe et puis vous mettez du sucre dessus !
- J'ai pas accroché, j'ai rippé! Parle pas de ce que tu connais pas. Mais qu'elle est conne, celle-là !
- On l'a appelé "Copain", comme dans "copain comme cochon".
- J'ai mangé les douze douzaines d'huîtres.
À mon signal tu la frappes, sèchement, de manière à détourner son attention de la douleur, t'as compris?
AH
ben Christiane on t'aurait pas reconnu !
- Ben d'ailleurs on t'a pas reconnu
La réceptionniste : "Votre nom ?"
- Jean-Claude : "Jean-Claude et vous ?"
- La réceptionniste : "..."
Jean-Claude : "Dusse avec un D comme Dusse".
Bernard aux anciens locataires : "Vous avez tort, Monsieur, si tout le monde dépasse d'une demi-journée, qu'est ce qui se passe : l'année prochaine, moi, je skie au mois de juillet".
Gigi à Gilbert : "Vous voulez de la tarte aux myrtilles ?... Ah c’est bête, y’en a plus !"
Jean-Claude : "Ah mes félicitations, elles sont bien rondes vos miches !"