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lOu jO and cO
19 décembre 2005

desperate housewives, deuxième !

Vous aurez peut-être noter que les actrices, toutes super bien foutues et plutôt pas mal sont issues  de séries-navets, de trucs minables etc. La palme revenant à Eva Longoria qui, non citée dans l'article précédent, est quand même issue des Feux de l'Amour, si, si. En outre, et dans un autre registre, c'est aussi la copine de notre star française du basket : Tony Parker. Tout ça pour dire qu'il ne faut pas juger sur les apparences, même si les photos promo sont souvent faites pour mettre en valeur physiquement les actrices, même si elles n'ont pas toutes un passé reluisant dans le métier, le ton de la série est désopilant, il bouscule les idées reçues et chacune d'entre elles est exceptionnelle dans le rôle qui lui a été attribuée. La cruche de service convient parfaitement à Teri Hatcher, la bourgeoise froide sied à merveille à Marcia Cross, Eva Longoria est géniale en bomba latina machiavélique et chieuse, quant à Felicity Huffman, elle est parfaite en mère de famille contre son gré, ex-carriériste reconvertie en maman au foyer. Allez encore un article (les sources sont citées dans l'article précédent).

"Après les séries comme ALLY MCBEAL ou SEX AND THE CITY, qui creusaient le sillon des trentenaires occidentales à la recherche de l'homme rêvé, DESPERATE HOUSEWIVES se transporte chez ces mêmes femmes dix ans plus tard, une fois le mâle en question épousé et une tonne de désillusions en travers du gosier. La quarantaine à la maison avec enfants, même avec de l'argent ? Rien de moins sexy, rien de plus ringard sur l'échelle de la branchitude mondialisée : corvées incessantes, épuisement, soucis affectifs chroniques, ingratitude… et pourtant...
Mais quel secret a donc poussé Marie-Alice Young (Brenda Strong
) à mettre fin à ses jours ? Toute la communauté de Wisteria Lane est en émoi. Epouse dévouée, Marie-Alice s'occupait de sa maison avec application, et s'arrangeait toujours pour que le dîner soit prêt au retour de son mari ou de son fils. Bref, une vie sans histoire, en apparence plus facile que celle de ses amies parmi lesquelles : Susan Mayer (Teri Hatcher) la célibataire. Belle plante et mère célibataire, Susan recherche désespérément un homme, un vrai. Sa dernière cible ? Mike, son nouveau voisin ultra-sexy. Coachée par sa fille de 15 ans, elle est prête à user de tous ses charmes pour l'attirer dans ses filets. Seulement Susan est loin d'être la seule à avoir faim...

Bree Van de Kamp (Marcia Cross
) est une bourgeoise coincée. Collier de perles, raie sur le côté et petit tailleur d'institutrice étriquée..., Bree est la perfection incarnée. Pas un cheveu de travers. Névrosée au plus haut point, «imprévu» et « fantaisie » ne font pas partie de son vocabulaire. Imaginez sa tête lorsque Rex, son mari (très bien sous tout rapport), lui propose de fréquenter une tierce personne pour pimenter leur vie sexuelle...

Gabrielle Solis (Eva Longoria
) est la bomba. Cette Latina au corps de rêve a tout pour être heureuse : la grande maison, le mari plein aux as et les beaux cadeaux qui vont avec. Mais tout ça manque terriblement de piquant pour cet ex-mannequin au sang chaud. Sa solution? S'encanailler avec son jardinier, de vingt ans son cadet. Entre son mari et son jeune amant, son coeur balance.

Lynette Scavo (Felicity Huffman
) est la frustrée. Femme d'affaires aux dents longues, elle plaque du jour au lendemain sa carrière en argent massif pour s'occuper de ses jumeaux. Grave erreur ! Plus exigeants qu'un « big boss » des finances, plus imprévisibles que les cours de la Bourse, ils mènent leur mère par le bout du nez.

Edie Britt (Nicollette Sheridan) est l'allumeuse : une véritable croqueuse d'hommes. Crinière blonde peroxydée et forte poitrine, cette poupée gonflable fait tourner la tête de tout le quartier. Les femmes la redoutent et les hommes la désirent. En d'autres termes, la pire voisine au monde !

Côté hommes, il y a le nouveau voisin, Mike Delfino (James Denton), un supposé plombier qui a Susan et Eddie à ses pieds ; Rex Van De Kamp (Steven Culp
), qui envisage de se séparer de sa femme ; Carlos, la moitié de Gabrielle qui considère qu'en lui offrant un diamant de 15 000 dollars, elle doit faire tout ce qu'il lui demande. Et enfin, il y a Paul (Mark Moses), le mari de Mary Alice qui doit certainement avoir une excellente raison pour agir de façon si étrange. Depuis son point de vue si privilégié, Mary Alice voit tout et beaucoup plus que ce qu'elle pouvait voir étant vivante. Elle nous fait partager tous les petits secrets qui se cachent derrière chaque porte fermée par l'un des habitants de ce quartier aux allures si paisibles et si tranquilles.
De l'amour, de la passion, de la trahison et une dose de crime, DESPERATE HOUSEWIVES possède tous les ingrédients d'un bon soap opéra, une bonne dose d'humour et de dérision en plus. Sans oublier le soupçon de réalisme qui manque cruellement au genre précité. DESPERATE HOUSEWIVES, c'est LA recette du succès.
Au premier abord, une recette facile empreinte de paranoïa et de belles filles sexy pour aguicher le téléspectateur. Mais DESPERATE HOUSEWIVES, c'est bien plus que ça. La série s'intéresse de façon sérieuse aux vrais problèmes que peuvent rencontrer les femmes au foyer. Elles deviennent les héroïnes de l'ombre. Bien plus qu'il n'en faut pour rendre accroc toutes celles (ou ceux) qui subissent ce genre de situation. Autant dire presque tout le monde. Mais surtout, sous son aspect lisse et consensuel, la série distille une saveur douce-amère où l'on découvre tout à coup que ces petites choses ordinaires du quotidien pourraient cacher des vérités bien moins avouables et une réalité bien plus drôle. Alors la vie des habitants de Wisteria Lane devient beaucoup plus passionnante à suivre.
A Wisteria Lane, on observe une population qui vit comme dans une réserve, coupée de tout. Cette rue dont on ne sort jamais, ces maisons où pas un poste de télé ni une conversation ne rappellent l'existence du monde extérieur, est l'exacte métaphore de l'espace mental de la mère de famille qui n'a pas le temps de sauver le monde (alors à quoi bon s'en occuper). Les féministes américaines débattent encore du côté réactionnaire de la série (et ses valeurs famille, patrie, cookies). La série explore sans complexe tous les rebondissements liés au suicide de Mary-Alice : incendie criminel, chantage, vols, meurtres, prostitution, relations sadomaso, secrets de famille gratinés... Mais DESPERATE HOUSEWIVES décrit avant tout un enfermement. Sous le vernis de ces dames et leurs impeccables brushings, sous leur volonté farouche de sauver les apparences, la solitude et la folie triomphent."

Puisqu'on  parlé des actrices ici, voici leurs photos :

Susan :

18444881

Bree :

18445189

Gabrielle :

18444876

Lynette :

18446433

Voilà les 4 desperate housewives dont nous suivons les péripéties. Mary-Alice, la morte qui raconte toute la série du haut de son ciel c'est elle :

strong

On ajoute à ces charmantes dames, la peste blonde de service, Edie :

18448109

Et le tour est joué :)

Evidemment je vous mets une petite photo du jardinier avec lequel Gabrielle occupe ses journées juste pour le plaisir des yeux ^^

18444882

suite à l'article suivant et toujours les mêmes sources partout :)

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